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Mais, j’étais à mille lieux d’imaginer que dans ce pays de Téranga, où les événements douloureux -comme la perte de proches- étaient de «belles occasions de retrouvailles», de présentation de condoléances et de partage du deuil de la famille attristée, on pouvait s’en prendre, de façon aussi désinvolte, à un homme éploré; transformer son malheur en une occasion de règlements de comptes ou d’exécution de contrat, souiller la mémoire de son illustre disparue et écrire que ses funérailles étaient une opération de «dérapages ou de démonstration de force, de jokolanté, de laang, d’hôtesses et de Jakarlo» et déclarer, péremptoire, que ses obsèques –qui ont été tenues dans un cadre privé- sont «une gifle à la gouvernance sobre et vertueuse» de Macky Sall.
Si, par supposition, on admettait que des Sénégalaises, avec leurs réalités sociétales, aient procédé à des échanges de Ndawtaal -cadeaux- en faisant étalage de leurs richesses, en quoi Amadou Bâ est-il mêlé à ces pratiques qui commencent, désormais, à entrer dans nos mœurs? Qui peut répondre de supposés actes, faits, gestes et dires de centaines d’hôtes venus, chez soi, à l’occasion d’une manifestation quelconque?
Celui qui ne veut voir que de la joie et de la luxuriance dans un rassemblement de recueillement profond et d’intenses interrogations -sur sa propre destinée-, au moment où on s’apprête à aller rendre à Dieu un être cher, une maman, une croyante, tout en oubliant son Jour, à lui, celui de son père et de sa mère, cette personne-là ne peut être qu’une âme tourmentée, dépourvue d’humanité. Modou Fall, ou celui qui se cache derrière ce nom, vous n’êtes pas recommandable !
Professionnels du sordide
Après avoir planté, tel un perfectionniste du détail sordide, le décor joyeux d’une supposée rencontre festive qui se serait déroulée aux funérailles de Adja Marième Baal et fini par se poser l’outrageante question: «a-t-on respecté la mémoire de la défunte?», l’auteur de l’article, paru dans le N°1586 du quotidien Direct Info, a rejoint voire même dépassé les plus ignobles des communicants antidreyfusards engagés, en son temps, pour faire passer, pour traître, un homme qui n’avait fait que servir son pays avec loyauté, fidélité, dignité et désintéressement!
Si, moins de deux semaines après cette couarde opération de dénigrement, le même canard -qui se veut pourtant sérieux- revient à la charge pour, cette fois-ci, se perdre en conjectures; tout en prétendant vouloir «alerter l’opinion» sur «le lourd endettement» du Sénégal -causé par Amadou Bâ (sic)- et finir par affirmer que, «beaucoup d’observateurs pensent qu’il est temps de remercier le ministre (…) avant qu’il ne soit trop tard», il y a de quoi avoir de lourds soupçons de conspiration dont l’objectif est de jeter un homme et sa famille en pâture.
Il y a là suffisamment de preuves pour démontrer et dénoncer une entente mafieuse dont le but est de discréditer, salir et terroriser un homme et sa famille parce que, tout simplement, Amadou Bâ est à un poste stratégique, très convoité.
Cible de choix des cagoulards
Et, le fait qu’il soit désigné tête de liste de Benno Bokk Yakaar, à Dakar, l’a mis dans l’œil du cyclone…pardon dans le viseur des envieux et comploteurs tapis au sein de l’APR. De ce fait, l’argentier de la République est devenu une cible de choix, qui ne manque pas d’intéresser ces mercenaires de la plume qui empruntent le manteau du patriote pour mieux faire accepter leur forfaiture par l’opinion.
Que ce soit clair ! Je ne suis pas partisan de Benno Bokk Yakaar ni militant de l’APR. Et leurs querelles internes ne me concernent pas aussi longtemps qu’elles resteront endogènes. Mais, lorsque ces règlements de comptes atterrissent sur l’espace public et qu’ils sont présentés, par voie de média, comme une information journalistique, je ne peux rester de marbre.
Je refuse de cautionner que des rédacteurs -peu recommandables- de pamphlets mal inspirés, commandités par des frustrés, auprès de cabinets noirs, puissent s’ériger en défenseurs de l’intérêt public, de l’ordre et de la morale, en voulant faire passer une sordide campagne de dénigrement, de délations et de diffamations, en une mission d’information.
Journalisme de caniveau
Mon attachement aux idéaux et fondements de ce métier -qu’est le journalisme- m’interdit de regarder, obséquieux, une minorité d’achetés, ériger des règles "siciliennes" qui deviendront les réalités du journalisme sénégalais.
Je refuse de regarder de nébuleux membres de Shadow Cabinets de la manipulation de masse, nostalgiques de l’érection de la pensée unique et du bourrage de crâne, définir ce qu’est le métier que j’exerce depuis plus d’une décennie, maintenant. Et me diriger, avec eux, vers ce désaveu populaire qui guette ma profession auprès de l’opinion.
Parce que les laisser faire leurs deals, ne rien dire pour dénoncer leurs méfaits, c’est accepter que les libertés les plus fondamentales de l’homme comme des valeurs bien de chez nous, soient menacées. C’est, cautionner que plus personne ne soit à l’abri de la calomnie commanditée et vendue à l’opinion comme une information journalistique.
KEWOULO.INFO
Si, par supposition, on admettait que des Sénégalaises, avec leurs réalités sociétales, aient procédé à des échanges de Ndawtaal -cadeaux- en faisant étalage de leurs richesses, en quoi Amadou Bâ est-il mêlé à ces pratiques qui commencent, désormais, à entrer dans nos mœurs? Qui peut répondre de supposés actes, faits, gestes et dires de centaines d’hôtes venus, chez soi, à l’occasion d’une manifestation quelconque?
Celui qui ne veut voir que de la joie et de la luxuriance dans un rassemblement de recueillement profond et d’intenses interrogations -sur sa propre destinée-, au moment où on s’apprête à aller rendre à Dieu un être cher, une maman, une croyante, tout en oubliant son Jour, à lui, celui de son père et de sa mère, cette personne-là ne peut être qu’une âme tourmentée, dépourvue d’humanité. Modou Fall, ou celui qui se cache derrière ce nom, vous n’êtes pas recommandable !
Professionnels du sordide
Après avoir planté, tel un perfectionniste du détail sordide, le décor joyeux d’une supposée rencontre festive qui se serait déroulée aux funérailles de Adja Marième Baal et fini par se poser l’outrageante question: «a-t-on respecté la mémoire de la défunte?», l’auteur de l’article, paru dans le N°1586 du quotidien Direct Info, a rejoint voire même dépassé les plus ignobles des communicants antidreyfusards engagés, en son temps, pour faire passer, pour traître, un homme qui n’avait fait que servir son pays avec loyauté, fidélité, dignité et désintéressement!
Si, moins de deux semaines après cette couarde opération de dénigrement, le même canard -qui se veut pourtant sérieux- revient à la charge pour, cette fois-ci, se perdre en conjectures; tout en prétendant vouloir «alerter l’opinion» sur «le lourd endettement» du Sénégal -causé par Amadou Bâ (sic)- et finir par affirmer que, «beaucoup d’observateurs pensent qu’il est temps de remercier le ministre (…) avant qu’il ne soit trop tard», il y a de quoi avoir de lourds soupçons de conspiration dont l’objectif est de jeter un homme et sa famille en pâture.
Il y a là suffisamment de preuves pour démontrer et dénoncer une entente mafieuse dont le but est de discréditer, salir et terroriser un homme et sa famille parce que, tout simplement, Amadou Bâ est à un poste stratégique, très convoité.
Cible de choix des cagoulards
Et, le fait qu’il soit désigné tête de liste de Benno Bokk Yakaar, à Dakar, l’a mis dans l’œil du cyclone…pardon dans le viseur des envieux et comploteurs tapis au sein de l’APR. De ce fait, l’argentier de la République est devenu une cible de choix, qui ne manque pas d’intéresser ces mercenaires de la plume qui empruntent le manteau du patriote pour mieux faire accepter leur forfaiture par l’opinion.
Que ce soit clair ! Je ne suis pas partisan de Benno Bokk Yakaar ni militant de l’APR. Et leurs querelles internes ne me concernent pas aussi longtemps qu’elles resteront endogènes. Mais, lorsque ces règlements de comptes atterrissent sur l’espace public et qu’ils sont présentés, par voie de média, comme une information journalistique, je ne peux rester de marbre.
Je refuse de cautionner que des rédacteurs -peu recommandables- de pamphlets mal inspirés, commandités par des frustrés, auprès de cabinets noirs, puissent s’ériger en défenseurs de l’intérêt public, de l’ordre et de la morale, en voulant faire passer une sordide campagne de dénigrement, de délations et de diffamations, en une mission d’information.
Journalisme de caniveau
Mon attachement aux idéaux et fondements de ce métier -qu’est le journalisme- m’interdit de regarder, obséquieux, une minorité d’achetés, ériger des règles "siciliennes" qui deviendront les réalités du journalisme sénégalais.
Je refuse de regarder de nébuleux membres de Shadow Cabinets de la manipulation de masse, nostalgiques de l’érection de la pensée unique et du bourrage de crâne, définir ce qu’est le métier que j’exerce depuis plus d’une décennie, maintenant. Et me diriger, avec eux, vers ce désaveu populaire qui guette ma profession auprès de l’opinion.
Parce que les laisser faire leurs deals, ne rien dire pour dénoncer leurs méfaits, c’est accepter que les libertés les plus fondamentales de l’homme comme des valeurs bien de chez nous, soient menacées. C’est, cautionner que plus personne ne soit à l’abri de la calomnie commanditée et vendue à l’opinion comme une information journalistique.
KEWOULO.INFO