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Le boxeur sénégalais a perdu son titre de champion du Monde. Suite à une fracture à la jambe lors du deuxième round. «Regrettable», trouve son adversaire. Pourtant ils ont bien démarré. Mais, Boubacar Ndiaye jusque-là détenteur du titre de champion du monde, s’est blessé. Le Croate, plus résistant que lui, a contré son coup. «C’était bien. Je ne voulais pas gagner de cette façon. Parce que nous étions bien au deuxième round. J’aurais aimé poursuivre le combat jusqu’à la fin et battre mon adversaire. J’ai mal pour lui. Parce que je le vois très mal dans sa chair. C'est très difficile pour un compétiteur de se faire éliminer comme ça. Le combat était bien parti. On commençait à trouver nos marques sur le ring. Malheureusement cette fracture est arrivée », se désole Agron. Il estime, toutefois, que «Boubacar est un combattant valeureux. J’espère qu’il revient au meilleur de sa forme et réconquérir le à nouveau le titre». Néanmoins, Famara Touré, a remporté le titre de champion d’Afrique aux dépens du Marocain Moussa Bel hadji samedi dernier au stadium Marius Ndiaye. Une performance qui le propulse au niveau professionnel. Ayant bien connu son adversaire le combattant Sénégalais dit avoir eu la conviction de vaincre le Marocain au troisième round. Dominé pendant les deux premiers rounds, Famara Touré a tenu à gérer la condition physique. Ce qui lui a permis de renverser la tendance au troisième round, en marquant des points. «Moussa était fatigué. Je le sentais. Ensuite je sais que ses jambes ne tiennent pas bien. Je le connais bien parce que je l’ai battu en France. J’avais une blessure. Mes coachs ne savaient pas. J’ai reçu deux coups au deuxième round sur la côte. Ça faisait mal, mais j’ai réussi à m’en sortir. À partir du troisième round, j’ai su que je peux le gagner. Techniquement, je l’ai fragilisé en lui donnant des coups à l’abdomen», explique le jeune de 34 ans écailleur de poissons. Il va désormais vivre de son art car il est devenu professionnel. Et le pensionnaire du club kick-boxing d’Asecna, de se réjouir : «ce titre est particulier pour moi je vais devenir professionnel. Ce n’est pas pareil aux autres titres même si je les ai déjà gagnés au Cameroun. Mais ce n’est pas le même enjeu. Je peux dire que c’est mon premier titre continental. Parce qu’on vient de créer la ceinture».
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