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Le Sunday Times accuse Hayatou d’avoir été corrompu par l’émir du Qatar Bin Hammam dans la procédure du choix de son pays pour accueillir la coupe du monde Qatar 2022.
M. Issa Hayatou, président de la Confédération africaine de football (CAF), et vice-président de la FIFA, a rejeté en bloc et formellement les accusations de corruption portées à son encontre par le journal anglais « Sunday Times » dans sa parution du 1er juin 2014.
M. Hayatou a donc rejeté catégoriquement toutes ces accusations, y compris des frais d’hospitalisation dans ce pays dont il aurait bénéficié des faveurs de l’émir du Qatar pour les solder. Il retire sa responsabilité dans l’attribution par le projet goal de la FIFA d’un financement de 400 000 dollars US au Cameroun, son pays.
Dans la même lancée, il nie aussi avoir facilité un entretien entre le président camerounais, Paul Biya et l’émir du Qatar comme semble l’affirmer le journal britannique. M. Hayatou dément aussi avoir eu des informations selon lesquelles l’émir du Qatar a corrompu les associations africaines pour soutenir la candidature de son pays.
Le camerounais Hayatou se dit impatient d’obtenir les preuves dont parle ce journal et parle d’une nouvelle campagne de lynchage contre sa personne. Il se réserve le droit de saisir la justice. Ce n’est pas la première fois que M. Hayatou, qui dirige le football africain depuis plusieurs années, soit dans le viseur de la presse. En 2011 déjà, il avait été accusé de corruption toujours par la presse.
africeleb
M. Issa Hayatou, président de la Confédération africaine de football (CAF), et vice-président de la FIFA, a rejeté en bloc et formellement les accusations de corruption portées à son encontre par le journal anglais « Sunday Times » dans sa parution du 1er juin 2014.
M. Hayatou a donc rejeté catégoriquement toutes ces accusations, y compris des frais d’hospitalisation dans ce pays dont il aurait bénéficié des faveurs de l’émir du Qatar pour les solder. Il retire sa responsabilité dans l’attribution par le projet goal de la FIFA d’un financement de 400 000 dollars US au Cameroun, son pays.
Dans la même lancée, il nie aussi avoir facilité un entretien entre le président camerounais, Paul Biya et l’émir du Qatar comme semble l’affirmer le journal britannique. M. Hayatou dément aussi avoir eu des informations selon lesquelles l’émir du Qatar a corrompu les associations africaines pour soutenir la candidature de son pays.
Le camerounais Hayatou se dit impatient d’obtenir les preuves dont parle ce journal et parle d’une nouvelle campagne de lynchage contre sa personne. Il se réserve le droit de saisir la justice. Ce n’est pas la première fois que M. Hayatou, qui dirige le football africain depuis plusieurs années, soit dans le viseur de la presse. En 2011 déjà, il avait été accusé de corruption toujours par la presse.
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