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À la faveur de l’avènement du régime issu de la présidentielle du 24 mars dernier, la Direction générale des impôts et domaines (DGID) a entrepris une vaste opération de recouvrement de dettes fiscales, notamment dans le secteur des médias. Cette initiative semble en train de porter ses fruits. Les ressources budgétaires, ressorties à 1450,1 milliards de francs CFA, fin mai, ont progressé grâce à la hausse des recettes fiscales.
Celles-ci s’établissent, d’après Les Échos, qui donne l’information, à 1373,3 milliards de francs CFA, soit une variation positive de 4,9%, 64,4 milliards en valeur absolue. Ce résultat est attribuable à l’impôt sur les sociétés, à la TVA intérieure hors pétrole, aux droits de porte et au FSIPP (Fonds de sécurisation des importations de produits pétroliers).
Petit bémol : le journal signale que la hausse des ressources budgétaires est tempérée par le repli des recettes non fiscales (-15,7%), estimées à 76,8 milliards.
Celles-ci s’établissent, d’après Les Échos, qui donne l’information, à 1373,3 milliards de francs CFA, soit une variation positive de 4,9%, 64,4 milliards en valeur absolue. Ce résultat est attribuable à l’impôt sur les sociétés, à la TVA intérieure hors pétrole, aux droits de porte et au FSIPP (Fonds de sécurisation des importations de produits pétroliers).
Petit bémol : le journal signale que la hausse des ressources budgétaires est tempérée par le repli des recettes non fiscales (-15,7%), estimées à 76,8 milliards.
À la faveur de l’avènement du régime issu de la présidentielle du 24 mars dernier, la Direction générale des impôts et domaines (DGID) a entrepris une vaste opération de recouvrement de dettes fiscales, notamment dans le secteur des médias. Cette initiative semble en train de porter ses fruits. Les ressources budgétaires, ressorties à 1450,1 milliards de francs CFA, fin mai, ont progressé grâce à la hausse des recettes fiscales.
Celles-ci s’établissent, d’après Les Échos, qui donne l’information, à 1373,3 milliards de francs CFA, soit une variation positive de 4,9%, 64,4 milliards en valeur absolue. Ce résultat est attribuable à l’impôt sur les sociétés, à la TVA intérieure hors pétrole, aux droits de porte et au FSIPP (Fonds de sécurisation des importations de produits pétroliers).
Petit bémol : le journal signale que la hausse des ressources budgétaires est tempérée par le repli des recettes non fiscales (-15,7%), estimées à 76,8 milliards.
Celles-ci s’établissent, d’après Les Échos, qui donne l’information, à 1373,3 milliards de francs CFA, soit une variation positive de 4,9%, 64,4 milliards en valeur absolue. Ce résultat est attribuable à l’impôt sur les sociétés, à la TVA intérieure hors pétrole, aux droits de porte et au FSIPP (Fonds de sécurisation des importations de produits pétroliers).
Petit bémol : le journal signale que la hausse des ressources budgétaires est tempérée par le repli des recettes non fiscales (-15,7%), estimées à 76,8 milliards.
À la faveur de l’avènement du régime issu de la présidentielle du 24 mars dernier, la Direction générale des impôts et domaines (DGID) a entrepris une vaste opération de recouvrement de dettes fiscales, notamment dans le secteur des médias. Cette initiative semble en train de porter ses fruits. Les ressources budgétaires, ressorties à 1450,1 milliards de francs CFA, fin mai, ont progressé grâce à la hausse des recettes fiscales.
Celles-ci s’établissent, d’après Les Échos, qui donne l’information, à 1373,3 milliards de francs CFA, soit une variation positive de 4,9%, 64,4 milliards en valeur absolue. Ce résultat est attribuable à l’impôt sur les sociétés, à la TVA intérieure hors pétrole, aux droits de porte et au FSIPP (Fonds de sécurisation des importations de produits pétroliers).
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