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Les dés sont jetés, et le résultat est pour le moins… surprenant. Alors que tous les grands sondages donnaient Kamala Harris en tête, Donald Trump a encore une fois réussi à faire mentir les pronostics et à s’imposer pour un retour triomphal à la Maison Blanche. Et dire que certains l’appelaient "l’ami des Africains". Son retour sera sûrement marqué par de nouvelles déclarations fracassantes sur le continent, où il n’avait pas hésité à qualifier certaines nations de "pays de m...". Mais bon, le show Trump est un classique. On attend la suite avec impatience.
Mais attention, le vrai scoop du jour ne vient pas de l’Oncle Sam. Non, il vient de Guinée équatoriale, avec l’affaire Baltasar Engonga. Un nom qui, tout à coup, fait plus de bruit que le discours de Trump lui-même. Engonga, directeur général de l’Agence nationale d'investigation financière (Anif), a été pris dans un tourbillon de scandale – et pas le genre de scandale léger. Non, non, celui-là est du calibre "on filme tout et on laisse tout le monde s’étonner". Il avait été nommé pour enquêter sur les finances publiques et la corruption, mais visiblement, il préférait se livrer à une enquête plus… personnelle. Difficile de comprendre comment un homme responsable de l'intégrité financière d'un pays a choisi d'être aussi créatif dans ses méthodes – mais bon, on est au 21e siècle, qui a encore besoin d'une caméra cachée quand on peut tout diffuser soi-même ?
Bref, en attendant de voir si ce scandale mettra des bâtons dans les roues des ambitions économiques du pays, il est bon de rappeler qu’aucun pays n’est à l’abri d’un Baltasar qui se fait filmer en pleine action. Mais ne nous inquiétons pas, comme dirait l’autre : "Nous ne sommes pas des pays de m...". Oui, la Guinée équatoriale se remettra, comme les États-Unis ont survécu à Trump. Après tout, chaque pays a ses petits… ou gros… travers.