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Le tribunal militaire de Tunis a condamné par contumace, jeudi 19 juillet, l'ancien président Zine El-Abidine Ben Ali à la réclusion à perpétuité pour la mort de 43 manifestants à Tunis, au cours de la "révolution de jasmin", fin 2010 et début 2011.
Ben Ali était jugé avec une quarantaine de responsables de son régime, dont le général Ali Seriati, ancien chef de la sécurité présidentielle, condamné à vingt ans de réclusion, et deux ex-ministres de l'intérieur, Rafik Belhaj Kacem, condamné à quinze ans, et Ahmed Friaa, qui bénéficie, lui, d'un non-lieu. Les familles des victimes ont réagi avec colère face à ce verdict, le jugeant trop clément pour MM. Seriati et Kacem et dénonçant la relaxe de M. Friaa.
Ben Ali était jugé avec une quarantaine de responsables de son régime, dont le général Ali Seriati, ancien chef de la sécurité présidentielle, condamné à vingt ans de réclusion, et deux ex-ministres de l'intérieur, Rafik Belhaj Kacem, condamné à quinze ans, et Ahmed Friaa, qui bénéficie, lui, d'un non-lieu. Les familles des victimes ont réagi avec colère face à ce verdict, le jugeant trop clément pour MM. Seriati et Kacem et dénonçant la relaxe de M. Friaa.