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Il lui est reproché d’avoir dénoncé, dans une interview (accordée au journal Le Quotidien), le manque de considération de l’Etat envers l’Equipe nationale de Beach Soccer qui a été pour la 4 ème fois championne d’Afrique au Nigéria. « C’est ce dimanche vers 20 heures que l’entraîneur de l’Equipe nationale (Ngalla Sylla) est venu chez moi pour reprendre mes équipements en me faisant savoir que je suis renvoyé de l’équipe. Il m’a dit que la décision vient de Ibrahima Ndiaye Chita (le manager général de l’équipe). Je lui ai demandé si c’était lui l’entraîneur où c’est Chita », a-t-il expliqué.
L’attaquant de Grande Motte Pyramide Beach Soccer dit avoir pris acte de la décision. « Je ne retire rien de mes propos, je n’ai dit que la vérité comme l’avait fait Alseyni Ndiaye concernant les primes. (…) Si on pense qu’on doit se taire pour ne pas heurter la sensibilité d’un tel ou tel, je ne suis pas de cet avis. Je n’ai manque de respect à personne (…). Si les autres ont peur de dénoncer ce qui se passe, moi je ne manque pas de courage pour le faire », a-t-il fait savoir dans les colonnes du journal Le Quotidien.
Joint au téléphone par nos confrères, Chita indique que » Koukpaki ne devait pas sortir dans la presse pour s’en prendre aux autorités. Ce sont des propos qui mettent mal à l’aise. Une communication se gère. Koukpaki est tenu par une obligation de réserve qui est imposée aux joueurs ».
L’attaquant de Grande Motte Pyramide Beach Soccer dit avoir pris acte de la décision. « Je ne retire rien de mes propos, je n’ai dit que la vérité comme l’avait fait Alseyni Ndiaye concernant les primes. (…) Si on pense qu’on doit se taire pour ne pas heurter la sensibilité d’un tel ou tel, je ne suis pas de cet avis. Je n’ai manque de respect à personne (…). Si les autres ont peur de dénoncer ce qui se passe, moi je ne manque pas de courage pour le faire », a-t-il fait savoir dans les colonnes du journal Le Quotidien.
Joint au téléphone par nos confrères, Chita indique que » Koukpaki ne devait pas sortir dans la presse pour s’en prendre aux autorités. Ce sont des propos qui mettent mal à l’aise. Une communication se gère. Koukpaki est tenu par une obligation de réserve qui est imposée aux joueurs ».