Autres articles
-
Sénégal-Burundi : le cadeau de la Fédération aux Lions
-
Tout savoir sur Xbet-apk.sn au Sénégal
-
Les applications de bookmakers principaux au Sénégal avec Bookmakers.wiwsport.com
-
Qualifications 2025/Liste des 26 Lions : trois joueurs locaux appelés, Krépin Diatta de retour
-
Real Madrid : la presse espagnole désigne les trois coupables du fiasco face à l’AC Milan
Fils de lutteur sait lutter. Telle est la formule qui pourrait être consacrée à l’étonnant palmarès de Balla Gaye II, de son vrai nom Omar Sakho. Il enchaîne les succès et gravit d’une manière fulgurante les piquants échelons la lutte sénégalaise. Samba Laobé, Darne Kandji, Papa Sow, Boulon, Marne Goor Diouf, Saloum Saloum, Bathie Séras, Boy Sèye, CoIy Faye, Ousrnane Diop, lssa. Pouye, Mbaye Olout, Tyson Jr, Tapha Guèye, Modou Lô, Balla Bèye et tout récemment Mohamed Ndao « Tyson » n’ont pas résiste à la rage de vaincre du « Lion de la Banlieue ». Son rugissement a fait trembler beaucoup de lutteurs talentueux et vibrer les fondamentaux de lutte.
Son charisme, son art pur de la lutte, sa force naturelle et sa fougue, frisant « l’arrogance », selon ses détracteurs, a fini de séduire les amateurs de ce sport passionnant et délirant. Contre vents et marées, Balla Gaye II mène son petit bout de chemin dans ce « sport de chez nous ». Le 12 mars 2006, soit un plus d’une année après le début de sa jeune carrière, il trébuche devant le « Caïman de Thiaroye ». Sa première défaite. Une déconvenue qui ne l’empêcha guère de goutter encore et encore aux délices du succès, de la victoire et de la gloire. Sa notoriété grandit et il subit la rançon. Ses moindres sorties sont guettées par la presse people et fait la une de l’actu. Une situation qui mettra hors de ses gonds son père Double Less. Ce dernier lui prédit des jours sombres dans l’arène s’il ne se ressaisit pas.
La prédiction du père a eu raison du fils. Le 08 février 2009, Balla Gaye II mord la poussière devant Eumeu Sène de l’écurie « Boul Faalé ». Depuis cette chute, Balla Gaye II « le fils banni » revient au près du père.
Le combat perdu face à Eumeu Sène sonne comme un déclic dans la carrière deu « Lion de Guédiawaye ». Depuis lors, il ne cesse de connaître des succès retentissants. Moustapha Guèye, le « Tigre finissant », Modo Lô la « coqueluche de l’arène », Balla Bèye II « le malin tacticien » et Tyson « le businessman » ne diront pas le contraire. Ces importantes victoires auront beaucoup servi à ce fils de champion de gravir encore des échelons pour atteindre le sommet de la lutte et viser le titre du « Roi des arènes ». L’ « Empereur » Yékini 1er le laissera-t-il faire ? L’arène nous dira !
Son charisme, son art pur de la lutte, sa force naturelle et sa fougue, frisant « l’arrogance », selon ses détracteurs, a fini de séduire les amateurs de ce sport passionnant et délirant. Contre vents et marées, Balla Gaye II mène son petit bout de chemin dans ce « sport de chez nous ». Le 12 mars 2006, soit un plus d’une année après le début de sa jeune carrière, il trébuche devant le « Caïman de Thiaroye ». Sa première défaite. Une déconvenue qui ne l’empêcha guère de goutter encore et encore aux délices du succès, de la victoire et de la gloire. Sa notoriété grandit et il subit la rançon. Ses moindres sorties sont guettées par la presse people et fait la une de l’actu. Une situation qui mettra hors de ses gonds son père Double Less. Ce dernier lui prédit des jours sombres dans l’arène s’il ne se ressaisit pas.
La prédiction du père a eu raison du fils. Le 08 février 2009, Balla Gaye II mord la poussière devant Eumeu Sène de l’écurie « Boul Faalé ». Depuis cette chute, Balla Gaye II « le fils banni » revient au près du père.
Le combat perdu face à Eumeu Sène sonne comme un déclic dans la carrière deu « Lion de Guédiawaye ». Depuis lors, il ne cesse de connaître des succès retentissants. Moustapha Guèye, le « Tigre finissant », Modo Lô la « coqueluche de l’arène », Balla Bèye II « le malin tacticien » et Tyson « le businessman » ne diront pas le contraire. Ces importantes victoires auront beaucoup servi à ce fils de champion de gravir encore des échelons pour atteindre le sommet de la lutte et viser le titre du « Roi des arènes ». L’ « Empereur » Yékini 1er le laissera-t-il faire ? L’arène nous dira !