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Le lutteur n’est pas du tout «ébranlé» par les menaces d’être ester en justice, par le président du comité national de gestion. La cause, le président des lutteurs en activité maintient ses propos. Le seul combat qui vaille pour consiste à défendre « l’intérêt» des lutteurs. D’ailleurs, Boy Kaïré indique au nouveau ministre des Sports, Abdoulaye Mactar Diop, qu’il y a «des mesures d’urgences à prendre. Il faut tout faire étouffer la souffrance des lutteurs. Surtout l’éradication du reliquat des 25% qu’on soutire des cachets des lutteurs. On formate d’énormes choses pour soutirer de l’argent aux lutteurs. Sans motif fondamental. Gris bordeaux et Eumeu Sène ont été victime de cette injustice. Et tout le monde sait qu’il se sont donnés à fond pour satisfaire les amateurs». Pour l’homme, Alioune Sarr est frustré. Mais je vous dis que jusqu’à présent je n’ai pas reçu de convocation. Je ne recule
pas. Je maintiens mes propos. Trop c’est trop. Si on m’apporte une convocation je vais répondre. Interpellé sur une négociation pour s’entendre dans l’intérêt de la lutte, le chef d’écurie de Soumbédioune ne récuse pas une telle éventualité. Car, « en temps de guerre il peut toujours y avoir des gens qui négocient pour l’instauration de la paix. C’est normal. Mais je dois dire aussi qu’ils sont là pour les lutteurs. Ils oublient leur mission à cause de l’argent. Ce n’est pas bon. Ils doivent aider la lutte et les lutteurs». Le président de lutteurs en activité de conclure sur l’intérêt commun des lutteurs et de l’arène: «Le climat social est détérioré. On doit songer à nous retrouver. C’est notre intérêt. Mais qu’ils fassent leur job».
pas. Je maintiens mes propos. Trop c’est trop. Si on m’apporte une convocation je vais répondre. Interpellé sur une négociation pour s’entendre dans l’intérêt de la lutte, le chef d’écurie de Soumbédioune ne récuse pas une telle éventualité. Car, « en temps de guerre il peut toujours y avoir des gens qui négocient pour l’instauration de la paix. C’est normal. Mais je dois dire aussi qu’ils sont là pour les lutteurs. Ils oublient leur mission à cause de l’argent. Ce n’est pas bon. Ils doivent aider la lutte et les lutteurs». Le président de lutteurs en activité de conclure sur l’intérêt commun des lutteurs et de l’arène: «Le climat social est détérioré. On doit songer à nous retrouver. C’est notre intérêt. Mais qu’ils fassent leur job».