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Les usagers dakarois de la route vivent un véritable calvaire. Une principale raison est à l’origine de cette situation, la rareté des bus Dakar Dem Dikk ou 3 D dans le trafic urbain. Les usagers sont obligés de rester debout durant plusieurs heures dans les arrêts, dans l’espoir qu’un bus surgisse. Parfois, il faut attendre 30 à 45 minutes pour voir un gros engin surgir de nulle part. Devant cette situation, les personnes impatientes empruntent d’autres moyens pour arriver à leur destination à temps. Un tour à l’un des arrêts de bus, situés sur l’avenue Blaise Diagne, édifie sur cette situation complexe. Comme à l’accoutumée, l’arrêt est pris d’assaut par des clients attendant un moyen de transport pour se rendre à leur destination.
La situation s’empire à l’approche de l’heure de la rupture du jeûne où tout le monde est pressé de rompre le jeûne chez lui. L’endroit devient étroit pour tous ces potentiels passagers de la société 3D ; chacun attend avec impatience l’arrivée d’un bus.
En cette saison de pluie, caractérisée par des averses à n’en plus finir, les choses deviennent plus compliquées pour les usagers. Le décor est tel que certains sont assis à même le sol, d’autres, fatigués, mais surtout pressés, s’embarquent dans des taxis. Mor est un commerçant qui tient une boutique au marché Sandaga. Chaque soir, il emprunte la ligne 9 pour rentrer chez lui à Dieuppeul. ’C’est vraiment difficile de trouver un bus Dakar Dem Dikk par ces temps. Je reste parfois quarante cinq minutes devant l’arrêt et lorsque le bus arrive, il est plein à craquer’, confie-t-il.
Le constat est le même au niveau d’un arrêt de Mermoz menant vers Ouakam. Les usagers se contentent des cars rapides ou des autres moyens de transport à leur disposition. ’Je n’attends même plus les bus Dakar Dem Dikk’, lance un passager visiblement pressé, avant de se faufiler à la hâte dans un car rapide.
Gogo Fatou Kane THIELLO (Stagiaire)
walfadjiri
La situation s’empire à l’approche de l’heure de la rupture du jeûne où tout le monde est pressé de rompre le jeûne chez lui. L’endroit devient étroit pour tous ces potentiels passagers de la société 3D ; chacun attend avec impatience l’arrivée d’un bus.
En cette saison de pluie, caractérisée par des averses à n’en plus finir, les choses deviennent plus compliquées pour les usagers. Le décor est tel que certains sont assis à même le sol, d’autres, fatigués, mais surtout pressés, s’embarquent dans des taxis. Mor est un commerçant qui tient une boutique au marché Sandaga. Chaque soir, il emprunte la ligne 9 pour rentrer chez lui à Dieuppeul. ’C’est vraiment difficile de trouver un bus Dakar Dem Dikk par ces temps. Je reste parfois quarante cinq minutes devant l’arrêt et lorsque le bus arrive, il est plein à craquer’, confie-t-il.
Le constat est le même au niveau d’un arrêt de Mermoz menant vers Ouakam. Les usagers se contentent des cars rapides ou des autres moyens de transport à leur disposition. ’Je n’attends même plus les bus Dakar Dem Dikk’, lance un passager visiblement pressé, avant de se faufiler à la hâte dans un car rapide.
Gogo Fatou Kane THIELLO (Stagiaire)
walfadjiri