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Dans un communiqué transmis à l'AFP, le ministère sénégalais des Affaires étrangères affirme avoir "pris connaissance, avec surprise, des propos du président guinéen (...) Alpha Condé faisant état d'une implication du Sénégal dans la récente attaque contre sa résidence privée".
Le Sénégal "n'est ni de près, ni de loin mêlé à ce malheureux évènement, qu'il a déjà condamné avec la dernière énergie", affirme-t-il.
Par "hospitalité", il "a de tout temps accueilli, sur son sol, les leaders politiques guinéens, y compris le président Condé lorsqu'il était dans l'opposition", selon le texte.
Il "invite à la sérénité, tout en renouvelant son engagement constant à oeuvrer au raffermissement continu des relations fraternelles qui le lient à la République soeur de Guinée et qui sont fondées sur le dialogue, la confiance mutuelle et le bon voisinage", conclut le communiqué.
Dimanche, le porte-parole de la présidence sénégalaise, Serigne Mbacké Ndiaye, avait déjà démenti les déclarations du président Condé, qui a affirmé soupçonner les gouvernements sénégalais et gambien de complicité avec les cerveaux de l'attaque de sa résidence privée à Conakry, par des militaires, le 19 juillet.
Il en est sorti indemne, un membre de sa garde a été tué, deux ont été blessés.
Selon Alpha Condé, qui a été élu en novembre 2010 après plusieurs décennies comme opposant, l'attentat a été préparé dans la capitale sénégalaise, lors de réunions dans un hôtel chic et après des "va-et-vient" en Gambie, autant de choses qui, pour lui, ne se sont pas faites à l'insu de Dakar et Banjul.
"Je pense qu'il y a la complicité du gouvernement sénégalais comme du gouvernement gambien, même s'ils disent qu'ils ont manqué de vigilance", a affirmé le président Condé.
"Il ne peut être question d'implication du Sénégal dans des problèmes de déstabilisation de la Guinée", avait réagi dimanche Serigne Mbacké Ndiaye.
Le Sénégal "n'est ni de près, ni de loin mêlé à ce malheureux évènement, qu'il a déjà condamné avec la dernière énergie", affirme-t-il.
Par "hospitalité", il "a de tout temps accueilli, sur son sol, les leaders politiques guinéens, y compris le président Condé lorsqu'il était dans l'opposition", selon le texte.
Il "invite à la sérénité, tout en renouvelant son engagement constant à oeuvrer au raffermissement continu des relations fraternelles qui le lient à la République soeur de Guinée et qui sont fondées sur le dialogue, la confiance mutuelle et le bon voisinage", conclut le communiqué.
Dimanche, le porte-parole de la présidence sénégalaise, Serigne Mbacké Ndiaye, avait déjà démenti les déclarations du président Condé, qui a affirmé soupçonner les gouvernements sénégalais et gambien de complicité avec les cerveaux de l'attaque de sa résidence privée à Conakry, par des militaires, le 19 juillet.
Il en est sorti indemne, un membre de sa garde a été tué, deux ont été blessés.
Selon Alpha Condé, qui a été élu en novembre 2010 après plusieurs décennies comme opposant, l'attentat a été préparé dans la capitale sénégalaise, lors de réunions dans un hôtel chic et après des "va-et-vient" en Gambie, autant de choses qui, pour lui, ne se sont pas faites à l'insu de Dakar et Banjul.
"Je pense qu'il y a la complicité du gouvernement sénégalais comme du gouvernement gambien, même s'ils disent qu'ils ont manqué de vigilance", a affirmé le président Condé.
"Il ne peut être question d'implication du Sénégal dans des problèmes de déstabilisation de la Guinée", avait réagi dimanche Serigne Mbacké Ndiaye.