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Lors de son témoignage, la jeune femme tient un pan de son voile au niveau du bas de son visage alors qu’elle explique s’être calfeutrée dans son appartement avec son bébé. «Il y avait des explosions, on sentait l’immeuble qui bougeait», raconte-t-elle.
Mais ce n’est pas le témoignage de cette habitante qui a attiré l’attention des internautes. Ces derniers se sont insurgés contre le fait que les chaînes de télévision interrogent une femme portant ce qu’ils considèrent comme un niqab (il s’agit en réalité d’un jilbab, ndlr) alors que la loi du 20 octobre 2010 interdit le voile intégral.
Mais ce n’est pas le témoignage de cette habitante qui a attiré l’attention des internautes. Ces derniers se sont insurgés contre le fait que les chaînes de télévision interrogent une femme portant ce qu’ils considèrent comme un niqab (il s’agit en réalité d’un jilbab, ndlr) alors que la loi du 20 octobre 2010 interdit le voile intégral.
Nadine Morano, eurodéputée et François Laborde, membre du CSA (Conseil supérieure de l’Audiovisuel) ont également dénoncé cette interview.
Mais face à la déferlante de commentaires, iTélé a souligné sur Twitter que la jeune femme portait ce voile pour ne pas être reconnue.
La journaliste Alexandra Uzan, qui a interrogé la jeune femme, a également répondu à Nadine Morano sur Twitter, soulignant qu'elle «ne portait pas le voile intégral» mais qu'elle voulait «garder l'anonymat devant la caméra».
DIRECT MATIN