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Les financiers trouvent toujours des stratagèmes pour pousser les clients à s’endetter. Le plus souvent, les institutions financières profitent des rentrées scolaires, des fêtes de fin d’année et celles religieuses. Ce faisant, elles proposent selon les périodes des prêts à des taux démesurés, agressifs et ruineux. Et, avec les prêts, les banques ne se limitent pas uniquement au taux de remboursement, variant entre 6 et 7%. Une fois le prêt contracté, le processus de démolition, devant faire payer aux clients des taxes et des frais supplémentaires se passe le plus souvent sous silence. Au fur et à mesure que le client rembourse, il se rend compte qu’il verse plus qu’il n’a emprunté à la banque.
Il découvre qu’il doit à la banque une taxe des intérêts de retard, de frais impayés, des intérêts de commissions, des commissions de retrait de guichet automatique de banque (Gab), des commissions de solde en Gab et une facturation, rapporte Walf.
En outre, ces institutions utilisent des publicités, dites mensongères pour attirer plus de victimes. Cette attraction accroche et marche bien. Puisque, de nombreux citoyens se retrouvent endettés jusqu’au cou.
Par ailleurs les institutions de micro finances dictent leurs lois sont aussi indexées. L’arnaque ne semble être seulement l’affaire des banques. Les institutions de microfinances, dont le taux est plafonné à 27% pratique cette gymnastique aux clients ou partenaires. Ces dernières appliquent régulièrement la méthode forte pour soutirer des fonds inestimables aux clients demandeurs de prêts. Elles ne mettent pas de gang pour recouvrer le crédit. Offrant de crédit avec un taux de 7%, selon le type de client et de prêt. Ces institutions, appliquant des taux supérieurs à ceux des banques déroulent la stratégie, pouvant ruiner du jour au lendemain le client
Il découvre qu’il doit à la banque une taxe des intérêts de retard, de frais impayés, des intérêts de commissions, des commissions de retrait de guichet automatique de banque (Gab), des commissions de solde en Gab et une facturation, rapporte Walf.
En outre, ces institutions utilisent des publicités, dites mensongères pour attirer plus de victimes. Cette attraction accroche et marche bien. Puisque, de nombreux citoyens se retrouvent endettés jusqu’au cou.
Par ailleurs les institutions de micro finances dictent leurs lois sont aussi indexées. L’arnaque ne semble être seulement l’affaire des banques. Les institutions de microfinances, dont le taux est plafonné à 27% pratique cette gymnastique aux clients ou partenaires. Ces dernières appliquent régulièrement la méthode forte pour soutirer des fonds inestimables aux clients demandeurs de prêts. Elles ne mettent pas de gang pour recouvrer le crédit. Offrant de crédit avec un taux de 7%, selon le type de client et de prêt. Ces institutions, appliquant des taux supérieurs à ceux des banques déroulent la stratégie, pouvant ruiner du jour au lendemain le client