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De sources concordantes, on apprend que ces casques bleus sénégalais entretiennent un bras de fer avec les autorités pour des questions de primes. Ils ont ainsi décidé de ne pas retourner au bercail, sans que cette question de leurs indemnités ne soit réglée. Or, le Commandement de l’Onu a tout planifié pour qu’ils puissent rentrer le samedi et dimanche prochains. Les véhicules pakistanais qui devaient les transporter à Abidjan ont dû rebrousser chemin. De ce fait, à moins qu’une médiation n’aboutisse dans les plus brefs délais, leurs vols risquent d’être retardés. Chose très probable dans la mesure où la visite de la délégation de l’Etat-major, réservée aux troupes engagées dans les Opérations extérieures (Opex), pour régler des problèmes administratifs, n’a pas eu lieu. Et ce, pour une rare fois. Qu’à cela ne tienne, ces diambars exigent le versement intégral de leurs primes journalières d’intervention, après une année de mission «spéciale» en Côte d’Ivoire. Sans quoi, ils élèveront le ton une fois à Dakar. Depuis ses premiers jours en terre ivoirienne, ce Commando spécial exige le versement de la totalité de ses indemnités qui, du reste, sont payées par l’Onu, mais que les autorités militaires sénégalaises «décident de réduire de manière drastique».
Lequotidien
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