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Dans l’interview qu’elle a accordée au journal l’Obs, la comédienne sollicite l’aide des sénégalais pour construire sa propre maison. « J’ai l’habitude de clamer partout ceci : n’attendez pas ma mort pour m’apporter des enveloppes (d’argent) ! » Quand j’ai fait cette déclaration dans un quotidien de la place, mon téléphone n’a pas cessé de grésiller, les gens pensaient que j’étais atteinte d’une maladie mortelle. Mais, je peux dire que je suis gravement malade aujourd’hui ».
Ainsi, laisse entendre Rama Thiam, « ma maladie a pour nom le loyer. Je vis en location dans cette chambre depuis 1991 et il m’arrive souvent d’avoir des arriérés de location. Heureusement, mon bailleur est compréhensif, sinon, je serais à la porte depuis longtemps. Je ne souffre d’aucune maladie particulière. Je suis bien portante. Je rends grâce à Dieu. Je souhaite rencontrer le président de la République car, nous les anciens du théâtre, nous méritons d’avoir des maisons ».
La comédienne qui a tant régalé les Sénégalais dans les pièces qu’elle a jouées, dont la plus célèbre est « Coumba ame Ndéye et Coumba Amoul Ndéye », souhaite construire sa propre maison. J’ai une maison à Keur Mbaye Fall depuis les années 1980, mais, avec mes maigres moyens, je ne peux même pas y poser une pierre. (…) Je veux juste du matériel (ciment, fer, béton, etc.) pour entamer la construction ou au moins qu’on me trouve un appartement car vivre en location coute très cher. C’est ma difficulté majeure. Aussi, quand je suis vraiment dans la déche, il m’arrive de vendre mes propres produits cosmétiques pour survivre ».
SENEWEB.COM
Ainsi, laisse entendre Rama Thiam, « ma maladie a pour nom le loyer. Je vis en location dans cette chambre depuis 1991 et il m’arrive souvent d’avoir des arriérés de location. Heureusement, mon bailleur est compréhensif, sinon, je serais à la porte depuis longtemps. Je ne souffre d’aucune maladie particulière. Je suis bien portante. Je rends grâce à Dieu. Je souhaite rencontrer le président de la République car, nous les anciens du théâtre, nous méritons d’avoir des maisons ».
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