Autres articles
-
Le rapport de la Cour des comptes sur la table du PM : « Les sénégalais sauront l’ampleur des dégâts » (Sonko)
-
SENEGAL-ASSAINISSEMENT-COLLECTIVITES / Le DG de la SONAGED préconise la mise en place d’unités de valorisation industrielle des déchets à Tambacounda et Kédougou
-
Sonko en Mauritanie
-
Communiqué du Conseil des ministres du 8 Janvier 2025
-
[Récap] Ousmane Sonko et le chef de la diplomatie tchadienne sonnent la charge contre Emmanuel Macron
"Nous avons beaucoup parlé de la décision de la Cedeao, par pudeur nous ne l’avons pas commentée en estimant que nous sommes Etat membre. Les décisions que nous avons prises sont des décisions qui respectent la décision de la Cedeao. La décision nous dit que l’interdiction de sortie du territoire n’avait pas de base légale. On a adressé aux différents individus des notifications légales, la base légale a été établie. Dans un de ses motifs, la décision de la Cedeao dit qu’elle n’a pas compétence à contraindre les Etats dans le cadre de l’application de leurs lois et de leurs procédures internes", a-t-elle expliqué dans un entretien avec L’Observateur. A en croire, la Garde des Sceaux, ce serait le comble qu’une instance juridictionnelle sous régionale empêche au Sénégal d’appliquer ses lois. En ce moment, dit-elle "on n’y comprendrait plus rien". "Dans le cadre de nos procédures, nous avons estimé puisqu’il n’y avait pas de garanties de représentation. Les individus devaient se tenir disponibles pour les enquêteurs. Les mis en cause bénéficieront de tous les droits de la défense puis les juges diront le droit. C’est ça la démocratie", a-t-elle encore indiqué.
leral.net
leral.net