Il défend : « On donne toujours le nom de l’écrivain kenyan Ngugi Wa Thiong’o ou le Somalien Nuruddin Farah, ce que je trouve injuste parce qu’une écrivaine comme Aminata Sow Fall mérite le Nobel. Si j’étais membre du jury, je donnerais même le Nobel à Sow Fall avant Ngugi Wa Thiong’o ou Nurudin Farah. »
Conquis, Mabanckou s’enflamme en désignant Aminata Sow Fall, à qui il a rendu hommage dans son dernier livre, « Le monde de mon langage », comme « la plus grande romancière ».
(Source : Wal fadjri)
Conquis, Mabanckou s’enflamme en désignant Aminata Sow Fall, à qui il a rendu hommage dans son dernier livre, « Le monde de mon langage », comme « la plus grande romancière ».
(Source : Wal fadjri)