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Alan Roberts «semblait ne pas savoir ce qu’il faisait»
Mais Alan Roberts est bien une personne différente, affirme Gawker, qui a interrogé deux membres du casting et de l’équipe de production. «Sam Bacile supervisait la logistique de la production tandis qu’Alan Roberts dirigeait les acteurs et mettait en place les scènes», explique le site.
Cet Alan Roberts est décrit comme un homme d’une cinquantaine d’années qui aurait déjà réalisé, selon sa fiche IMDB, neuf films plutôt obscurs dont un long-métrage érotique en 1977. Son dernier film, un thriller, date de 1994. Sauf qu’avec cette relative expérience, Gawker ne s’explique pas la faiblesse de L’Innocence des musulmans, d’autant plus que l’un de ses témoins raconte que le cinéaste «semblait ne pas savoir ce qu’il faisait» et que lui-même avait dû expliquer au réalisateur la base des effets spéciaux utilisés pendant le tournage, effectué à 90% sur fond vert.
Alan Roberts n’aurait ainsi été, comme le reste de son équipe et de son casting, qu’un élément «neutre» de la chaîne de production du film qui ne savait même pas qu’il s’agissait d’une œuvre anti-islam. «Je ne pense pas qu’un seul d’entre nous prenait ce film au sérieux. Tout le monde prenait cela pour une farce, sauf Sam (Bacile) qui semblait être le seul à le prendre sérieusement», indique Eric Moer qui a notamment travaillé comme électricien pendant le tournage. Et Gawker de conclure: «Ce serait la première fois dans l’histoire du cinéma qu’un réalisateur n’est pas au courant de ce qu’il tourne.»
Source: Senego.com
Mais Alan Roberts est bien une personne différente, affirme Gawker, qui a interrogé deux membres du casting et de l’équipe de production. «Sam Bacile supervisait la logistique de la production tandis qu’Alan Roberts dirigeait les acteurs et mettait en place les scènes», explique le site.
Cet Alan Roberts est décrit comme un homme d’une cinquantaine d’années qui aurait déjà réalisé, selon sa fiche IMDB, neuf films plutôt obscurs dont un long-métrage érotique en 1977. Son dernier film, un thriller, date de 1994. Sauf qu’avec cette relative expérience, Gawker ne s’explique pas la faiblesse de L’Innocence des musulmans, d’autant plus que l’un de ses témoins raconte que le cinéaste «semblait ne pas savoir ce qu’il faisait» et que lui-même avait dû expliquer au réalisateur la base des effets spéciaux utilisés pendant le tournage, effectué à 90% sur fond vert.
Alan Roberts n’aurait ainsi été, comme le reste de son équipe et de son casting, qu’un élément «neutre» de la chaîne de production du film qui ne savait même pas qu’il s’agissait d’une œuvre anti-islam. «Je ne pense pas qu’un seul d’entre nous prenait ce film au sérieux. Tout le monde prenait cela pour une farce, sauf Sam (Bacile) qui semblait être le seul à le prendre sérieusement», indique Eric Moer qui a notamment travaillé comme électricien pendant le tournage. Et Gawker de conclure: «Ce serait la première fois dans l’histoire du cinéma qu’un réalisateur n’est pas au courant de ce qu’il tourne.»
Source: Senego.com