Autres articles
-
Côte d'Ivoire: appels à manifester contre l'exclusion de Tidjane Thiam, test avant la présidentielle
-
Droits de douane: la Chine affirme que la pause de Trump est le résultat de sa « pression »
-
« La seule chose que vous avez construite, c’est la destruction d’un pays » : Nathalie Yamb s’en prend à Paul Biya
-
Le Mali "indigné" par les violences contre ses migrants expulsés de Mauritanie
-
Turquie: plus de 1.130 manifestants arrêtés depuis mercredi
Des mineurs sud africains de Marikana, au Nord-Ouest du pays ont vu leur mouvement d'humeur être reprimé dans le sang. Alors que ces travailleurs de la mine de platine observaient une grève pour exiger une augmentation de salaire, la directionsur de la mine a lâché les forces de l'ordre ces derniers ce Jeudi 16 Aout. Devant des traivailleurs en colère et armé de machettes, gourdins, barres de fer et armes à feu, la police a ouvert les feu pour disperser la foule. Bilan: 30 morts selon le ministre de la police, et 36 selon les syndicalistes.
Ce regain de violence est attisé par une guerre entre les nombreux syndicats qui ont vu le jours. Un affrontements entre différents syndicats a d'ailleurs fait 10 morts Dimanche derniers dans la zone minière.
Devant cette situation, le président Zuma a quitté le sommet de la communauté de developpement de l'Afrique Australe auquel il prenait part. Il a dit sa désolation de voir la situation en arrivé là : "Nous croyons qu'il y a assez de place dans notre système démocratique pour que les différents soient résolus par le dialogue, sans violation de la loi et sans violence."
( Avec Jeuneafrique.com)
Ce regain de violence est attisé par une guerre entre les nombreux syndicats qui ont vu le jours. Un affrontements entre différents syndicats a d'ailleurs fait 10 morts Dimanche derniers dans la zone minière.
Devant cette situation, le président Zuma a quitté le sommet de la communauté de developpement de l'Afrique Australe auquel il prenait part. Il a dit sa désolation de voir la situation en arrivé là : "Nous croyons qu'il y a assez de place dans notre système démocratique pour que les différents soient résolus par le dialogue, sans violation de la loi et sans violence."
( Avec Jeuneafrique.com)