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Cela ressemble fort à “une offensive d’hiver violente” destinée à semer la mort en Afghanistan. Selon le journal pakistanais Dawn, les quatre attaques perpétrées mardi 10 janvier, revendiquées par les talibans, soulignent “l’insécurité grandissante” qui règne dans le pays. “Malgré les efforts menés par l’armée officielle, avec le soutien des États-Unis, pour combattre les insurgés ainsi que les militants islamistes d’Al-Qaida et de l’organisation État islamique”, l’Afghanistan vient de subir un nouveau “carnage”, observe le quotidien.
À Kandahar (sud), c’est le siège du gouverneur qui était visé : les explosifs étaient cachés dans un canapé et ont tué 13 personnes, dont 5 ressortissants des Émirats arabes unis. À Lashkar Gah, capitale de la province du Helmand (sud-ouest) sous le contrôle implicite des talibans, c’est une attaque suicide qui a tué 7 personnes. Et dans la capitale, Kaboul, deux bombes ont explosé près d’une annexe du Parlement, tuant au moins 36 personnes, dont 4 policiers, et en blessant 80 autres.
L’Afghanistan s’annonce comme l’un des premiers dossiers à traiter pour Donald Trump, qui prend la présidence des États-Unis le 20 janvier, souligne Dawn. “L’intégrité du territoire afghan est maintenue”, prétend toutefois le Kabul Times, journal contrôlé par le gouvernement Ghani. “Toutes les tentatives des insurgés” de contrôler des districts ou des chefs-lieux régionaux sont demeurées “vaines” en 2016, affirme-t-il. “Le gouvernement contrôle plus des deux tiers de la population et 2017 est une année porteuse d’espoir de paix.”
Avec courrierinternational.com
À Kandahar (sud), c’est le siège du gouverneur qui était visé : les explosifs étaient cachés dans un canapé et ont tué 13 personnes, dont 5 ressortissants des Émirats arabes unis. À Lashkar Gah, capitale de la province du Helmand (sud-ouest) sous le contrôle implicite des talibans, c’est une attaque suicide qui a tué 7 personnes. Et dans la capitale, Kaboul, deux bombes ont explosé près d’une annexe du Parlement, tuant au moins 36 personnes, dont 4 policiers, et en blessant 80 autres.
L’Afghanistan s’annonce comme l’un des premiers dossiers à traiter pour Donald Trump, qui prend la présidence des États-Unis le 20 janvier, souligne Dawn. “L’intégrité du territoire afghan est maintenue”, prétend toutefois le Kabul Times, journal contrôlé par le gouvernement Ghani. “Toutes les tentatives des insurgés” de contrôler des districts ou des chefs-lieux régionaux sont demeurées “vaines” en 2016, affirme-t-il. “Le gouvernement contrôle plus des deux tiers de la population et 2017 est une année porteuse d’espoir de paix.”
Avec courrierinternational.com