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Les autorités étatiques réagissent sur l’affaire Aïda Diongue. Et c’est le ministre de la Bonne gouvernance et porte-parole du gouvernement qui monte au créneau. Pas du tout insensible à la sortie des avocats de la responsable du Parti Démocratique Sénégalais (PDS), l’ancien premier ministre Souleymane Ndéné Ndiaye en tête qui dénoncent la violation du secret de l’instruction par le Procureur de la République, Abdou Latif Coulibaly défend Serigne Bassirou Gueye. « Personnellement, je connais ce magistrat très compétent et brillant pour penser qu’il n’est pas possible qu’il fasse une erreur de la sorte », affirme le ministre qui assène « il n’y pas de violation du secret de l’instruction ».
« J’en suis d’autant plus convaincu que » le Procureur de la République « a lui-même dit que les faits qui sont actuellement en instruction ne sont pas concernés par les nouveaux faits qui ont été révélés ». D’ailleurs, un des avocats d’Aïda Diongue a dit ceci : « l’argent qui a été découvert, les caisses où l’argent a été retrouvé n’appartiennent pas à Aïda Diongue » par conséquent, « il n’y a pas de possibilité qu’on dise qu’il y a violation de l’instruction » précise le porte-parole du gouvernement qui va plus loin.
« Ces faits apparemment comme l’explique le Procureur de la République, ce sont des faits nouveaux. C’est une nouvelle infraction qui ne fait pas encore l’objet d’une instruction quelle qu’elle soit. Je pense que ce qui est en instruction, c’est l’affaire des produits phytosanitaires. Dans le cas d’espèces, ça ne l’est pas, donc il n’y a pas de violation du secret de l’instruction. Le procureur est parfaitement dans son rôle. Quand une infraction est commise et ce, dans tous les pays du monde, le Procureur de la République sort pour expliquer aux uns et aux autres ce qui se passe » dans les colonnes du journal « l’as » où Abdou Latif Coulibaly prend l’exemple précis de l’ancien Directeur général du FMI, Dominique Strauss Kane. « Quand il a été arrêté, le Procureur est sorti pour expliquer les faits qui lui ont été reprochés. Alors quel est le problème ? Si le Procureur, la seule personne habilitée à le faire, ne le fait pas, qui va le faire ? ».
Pressafrik
« J’en suis d’autant plus convaincu que » le Procureur de la République « a lui-même dit que les faits qui sont actuellement en instruction ne sont pas concernés par les nouveaux faits qui ont été révélés ». D’ailleurs, un des avocats d’Aïda Diongue a dit ceci : « l’argent qui a été découvert, les caisses où l’argent a été retrouvé n’appartiennent pas à Aïda Diongue » par conséquent, « il n’y a pas de possibilité qu’on dise qu’il y a violation de l’instruction » précise le porte-parole du gouvernement qui va plus loin.
« Ces faits apparemment comme l’explique le Procureur de la République, ce sont des faits nouveaux. C’est une nouvelle infraction qui ne fait pas encore l’objet d’une instruction quelle qu’elle soit. Je pense que ce qui est en instruction, c’est l’affaire des produits phytosanitaires. Dans le cas d’espèces, ça ne l’est pas, donc il n’y a pas de violation du secret de l’instruction. Le procureur est parfaitement dans son rôle. Quand une infraction est commise et ce, dans tous les pays du monde, le Procureur de la République sort pour expliquer aux uns et aux autres ce qui se passe » dans les colonnes du journal « l’as » où Abdou Latif Coulibaly prend l’exemple précis de l’ancien Directeur général du FMI, Dominique Strauss Kane. « Quand il a été arrêté, le Procureur est sorti pour expliquer les faits qui lui ont été reprochés. Alors quel est le problème ? Si le Procureur, la seule personne habilitée à le faire, ne le fait pas, qui va le faire ? ».
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