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Il s’agit, en effet, de la formation des formateurs organisée par le Centre Panafricain pour le genre, la paix et le développement (Pac) et l’Ong « Femmes africa solidarité (Fas) », dont la durée est de trois (03) jours (du 7 au 9 novembre). Elle s’adresse notamment aux soldats des forces armées, de la Gendarmerie et de la Police nationale en instruction ou en phase de pré-déploiement. Et mettra l’accent sur l’acquisition de connaissances sur l’équité et l’égalité du genre, les femmes dans les conflits et leur vulnérabilité, les droits humains et les instruments juridiques de protection des femmes dans les zones de conflit, ainsi que l’étude des comportements et l’éthique du soldat de la paix.
Financé par l’ambassade de la Grande Bretagne à Dakar et soutenu par l’Ambassade du Japon et le Bureau de l’Envoyé spécial sur Femmes, paix et sécurité de la Commission de l’Ua, ce projet vient «renforcer la réputation de la Grande Bretagne sur ses politiques de réponses en faveur de la lutte contre les violences basées sur le genre en général et dans le contexte des conflits en particulier».
Le choix du Sénégal pour abriter ce projet pilote s’explique, selon Bineta Diop, l’Envoyée spéciale de la Commission de l’Ua, par le fait qu’il occupe la 7ème place de contributeurs de troupes au service des opérations de maintien de la paix dans le monde et grâce à ce projet, il renforce la politique du Conseil de sécurité de l’Organisation des Nations Unies (Onu), qu’il préside depuis le 1er novembre dernier, pour une «tolérance zéro» contre ce fléau commis par les forces de maintien de la paix.
Financé par l’ambassade de la Grande Bretagne à Dakar et soutenu par l’Ambassade du Japon et le Bureau de l’Envoyé spécial sur Femmes, paix et sécurité de la Commission de l’Ua, ce projet vient «renforcer la réputation de la Grande Bretagne sur ses politiques de réponses en faveur de la lutte contre les violences basées sur le genre en général et dans le contexte des conflits en particulier».
Le choix du Sénégal pour abriter ce projet pilote s’explique, selon Bineta Diop, l’Envoyée spéciale de la Commission de l’Ua, par le fait qu’il occupe la 7ème place de contributeurs de troupes au service des opérations de maintien de la paix dans le monde et grâce à ce projet, il renforce la politique du Conseil de sécurité de l’Organisation des Nations Unies (Onu), qu’il préside depuis le 1er novembre dernier, pour une «tolérance zéro» contre ce fléau commis par les forces de maintien de la paix.
Auteur: Cheikhou AIDARA - Seneweb.com