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Il ajoute que s’il a voulu tant diriger cette institution, ce n’était pas pour ses propres intérêts, mais pour servir.
« Si j’étais candidat à la présidence de l’Union africaine, ce n’était pas pour ma propre personne. C’était pour mon pays et pour l’Afrique. Quand j’ai quitté la tête de la LD, je suis allé au Mali où je devais représenter le secrétaire général des Nations-Unies qui m’a finalement détaché en Afrique centrale qui compte 16 pays. Pendant deux ans et demi, j’étais là-bas au Congo démocratique, Congo Brazzaville, Ouganda, Tchad, Guinée équatoriale, etc. Mais quand j’ai vu la gravité de la situation de la crise qui sévit dans la région, je me suis rendu compte qu’il n’y a que l’unité africaine qui peut régler tout cela. Tant que nous ne sommes pas unis, nous n’irons nulle part. C’est pourquoi j’ai pris conscience de la nécessité de présenter ma candidature. Je travaillais déjà avec l’Union africaine en tant que représentant spécial des Nations-Unies pour toute l’Afrique centrale », se justifie-t-il.
« Si j’étais candidat à la présidence de l’Union africaine, ce n’était pas pour ma propre personne. C’était pour mon pays et pour l’Afrique. Quand j’ai quitté la tête de la LD, je suis allé au Mali où je devais représenter le secrétaire général des Nations-Unies qui m’a finalement détaché en Afrique centrale qui compte 16 pays. Pendant deux ans et demi, j’étais là-bas au Congo démocratique, Congo Brazzaville, Ouganda, Tchad, Guinée équatoriale, etc. Mais quand j’ai vu la gravité de la situation de la crise qui sévit dans la région, je me suis rendu compte qu’il n’y a que l’unité africaine qui peut régler tout cela. Tant que nous ne sommes pas unis, nous n’irons nulle part. C’est pourquoi j’ai pris conscience de la nécessité de présenter ma candidature. Je travaillais déjà avec l’Union africaine en tant que représentant spécial des Nations-Unies pour toute l’Afrique centrale », se justifie-t-il.