‘’Si nous nous mettons à casser des monuments, nous nous classons au niveau international dans ces groupes de gens qui commencent par dire :+ Ceci n’est pas de mon goût, je l’élimine. Le Sénégal, actuellement, ne doit pas donner ces genres de messages d’intolérance’’, a dit M. Mbaye qui venait défendre son budget devant les députés.
‘’Le monument, c’est un monument, c’est-à-dire que c’est un édifice érigé par un artiste. Il peut avoir un mauvais goût comme il peut avoir un goût qui sied à d’autres. C’est de bon ou de mauvais goût, ce n’est pas à moi de le juger. Si j’étais (le concepteur), j’aurais fais différemment, mais il est là’’, a expliqué le ministre de la Culture.
Selon lui, les Sénégalais doivent accepter la différence dans un contexte de diversité culturelle.
’’ Ceux qui combattent le monument de la Renaissance, ce sont des hommes et des femmes qui se posent la question : qu’est-ce que cela représente par rapport à ma culture ? Mais c’est exactement parce que ce sera différent de ce que vous sentez être votre culture que je dois accepter cette différence avec les symboles qu’elle porte. L’expression qu’elle a n’est pas moi, mais elle est érigée chez moi. Je vais l’accepter comme tel’’, a-t-il poursuivi.
Il a ensuite invité à l’exploitation des opportunités qu’offre le monument de la Renaissance africaine. ‘’ Le monument, il est là. Il faut en tirer le maximum de profit pour nos enfants. La tour Eiffel (en France), quand elle a été construite, ceux qui l’ont combattue le plus c’étaient les écrivains, les spécialistes de l’esthétique et les architectes (…)’’, a-t-il fait observer.
‘’ Nous ne devons pas apparaitre comme ces gens en Afghanistan qui ont abattu des monuments âgés de plusieurs millénaires simplement parce qu’ils ne représentaient pas ce qu’ils croyaient être leur religion’’, a encore dit le ministre de la Culture
APS
‘’Le monument, c’est un monument, c’est-à-dire que c’est un édifice érigé par un artiste. Il peut avoir un mauvais goût comme il peut avoir un goût qui sied à d’autres. C’est de bon ou de mauvais goût, ce n’est pas à moi de le juger. Si j’étais (le concepteur), j’aurais fais différemment, mais il est là’’, a expliqué le ministre de la Culture.
Selon lui, les Sénégalais doivent accepter la différence dans un contexte de diversité culturelle.
’’ Ceux qui combattent le monument de la Renaissance, ce sont des hommes et des femmes qui se posent la question : qu’est-ce que cela représente par rapport à ma culture ? Mais c’est exactement parce que ce sera différent de ce que vous sentez être votre culture que je dois accepter cette différence avec les symboles qu’elle porte. L’expression qu’elle a n’est pas moi, mais elle est érigée chez moi. Je vais l’accepter comme tel’’, a-t-il poursuivi.
Il a ensuite invité à l’exploitation des opportunités qu’offre le monument de la Renaissance africaine. ‘’ Le monument, il est là. Il faut en tirer le maximum de profit pour nos enfants. La tour Eiffel (en France), quand elle a été construite, ceux qui l’ont combattue le plus c’étaient les écrivains, les spécialistes de l’esthétique et les architectes (…)’’, a-t-il fait observer.
‘’ Nous ne devons pas apparaitre comme ces gens en Afghanistan qui ont abattu des monuments âgés de plusieurs millénaires simplement parce qu’ils ne représentaient pas ce qu’ils croyaient être leur religion’’, a encore dit le ministre de la Culture
APS