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La professionnalisation est devenue une voie obligée pour booster le sport Africain. Car, «ces la condition pour moderniser notre football, de faire le sport une activité à part entière économique et sociale dans nos pays », estime le président de la fédération sénégalaise de football. Maître Senghor est d’avis qu’elle est la possibilité aux Africains de gommer le temps perdu par rapport aux autres nations de sport. Il n’y a pas un autre raccourci que d’investir dans ce professionnalisme. En effet, il ne s’agit plus tout simplement de payer les joueurs régulièrement. «C’est tout une organisation. C’est un cadre juridique et institutionnel. Mais, aussi et surtout un état d’esprit. Il faut lancer une activité dont la finalité sera les performances acquises par nos sportifs, des titres des palmarès et le bonheur du publique. Car tout ce processus de professionnalisation est pour atteindre le public dont la passion va générer des ressources qui reviendront au football. Inciter aux acteurs politiques à investir de l’argent qui sera réutiliser au niveau des clubs et des joueurs. C’est ce qu’il faut pour booster notre football», l’avocat. Au Sénégal, révèle le patron du football sénégalais, après trois ans de professionnalisme, «les acteurs du foot ont montré qu’aujourd’hui la professionnalisation du sport est viable dans notre pays. Maintenant il faut susciter des partenariats dynamiques avec les acteurs externes du foot. Je veux dire l’état qui doit créer l’environnement incitatif nécessaire. Des annonceurs, des sponsors. Mais aussi et surtout des médias qui doivent jouer leur partition». Surtout que, pense-t-il «l’essentiel des ressources du sport en général et du foot en particulier, possède des droits marketing et des droits Tv. Je considère que les médias ne sont seulement des accompagnateurs mais ils sont des acteurs pleins et entiers du développement du sport en Afrique»
ABLAYE NDIAYE
ABLAYE NDIAYE