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SENXIBAR-«Awa Diop est une plaie ouverte pour le PDS, une activiste qui n’est mue que par son porte-monnaie, toujours en train de manigancer». C’est la réponse servie à Awa Diop par Aïda Mbodji. Celle-ci invitée de l’émission «Selebe Yoon» de Walf TV a asséné des vertes et des pas mûres à la présidente des femmes du Parti démocratique sénégalais (PDS). Une réplique à la hauteur des attaques de la première nommée dans l’édition du journal le Quotidien d’hier, où dans une longue interview, Awa Diop a qualifié l’opération ‘’ma carte, ma caution’’, comme étant «une arnaque».
Loin de là, pense la mairesse de Bambey. Son opération qu’elle avait lancée pour une réélection du président Abdoulaye Wade au premier tour de la présidentielle 2012, est une «initiative politique, morale et populaire qui visait outre la mobilisation de fonds pour payer la caution de Me Wade, mais surtout à faire cautionner sa candidature et à la faire accepter». Elle lui aura permis de vendre 906 mille cartes et de récolter 106 millions de francs. Mais selon Aïda Mbodji cela ne peut être compris par celle qu’elle décrit comme étant «une plaie ouverte pour le PDS».
Poussant le bouchon, Aïda Mbodji avoue que la responsable libérale des femmes du PDS l’a même «menacée de mort par le passé». Comme pour dire qu’entre ces deux «sœurs» libérales, les relations sont loin d’être cordiales.
Loin de là, pense la mairesse de Bambey. Son opération qu’elle avait lancée pour une réélection du président Abdoulaye Wade au premier tour de la présidentielle 2012, est une «initiative politique, morale et populaire qui visait outre la mobilisation de fonds pour payer la caution de Me Wade, mais surtout à faire cautionner sa candidature et à la faire accepter». Elle lui aura permis de vendre 906 mille cartes et de récolter 106 millions de francs. Mais selon Aïda Mbodji cela ne peut être compris par celle qu’elle décrit comme étant «une plaie ouverte pour le PDS».
Poussant le bouchon, Aïda Mbodji avoue que la responsable libérale des femmes du PDS l’a même «menacée de mort par le passé». Comme pour dire qu’entre ces deux «sœurs» libérales, les relations sont loin d’être cordiales.