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Lancé sous Abdoulaye Wade, terminé sous Macky Sall, voilà donc le nouvel aéroport de Dakar , qui est inauguré officiellement ce 7 décembre à la mi-journée. D'un coût de 400 milliards de francs CFA, plus de 600 millions d'euros, bien au-delà des prévisions, l'aéroport Blaise-Diagne porte le nom du premier député africain noir qui a siégé à la Chambre des députés en France en 1914.
C'est un aéroport « green field », sorti de terre, et opérationnel malgré un calendrier chargé explique le directeur de l'exploitation de l'Agence des aéroports du Sénégal, Xavier Mary : « Il y aura peut-être un petit peu de peinture à faire derrière le carreau de la salle de bain. Tout ne sera pas parfait. Mais rien n’empêchera l’ouverture. »
Encore des polémiques
Il faut dire que certains, diplomates comme compagnies internationales, ne pensaient pas l'ouverture possible ce 7 décembre. Dernière polémique en date, les réserves de kérosène pas terminées. Faux, indique la ministre des Transports aériens, Maïmouna Ndoye Seck : « Il n’y aucun problème, ni de dimensionnement, ni de conception. Nous n’aurons aucune difficulté pour approvisionner les aéronefs en carburant. »
L'aéroport a donc été certifié il y a deux mois. Maguèye Marame Ndao est directeur de l'Agence nationale de l'aviation civile et de la météorologie (Anacim) : « D’un point de vue infrastructures, l’aéroport présente un service nettement meilleur que celui de l’aéroport Léopold-Sédar-Senghor. »