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« Plus de 800 tracteurs équipés sont attendus du programme de coopération brésilienne +Maïs alimentos+ et quelque 520 tracteurs équipés sur la ligne de crédit Exim Bank of India, dans le courant de l’année 2017 » a dit M. Lô, rapporte l’agence de presse sénégalaise.
« De 2012 à nos jours, plus de 850 tracteurs de 75 à 125 C, ont été acquis et toujours en cours de cession à des prix subventionnés à hauteur de 60%« , a fait observer Lamine Lô qui présidait l’ouverture d’un atelier sur la mécanisation agricole en Afrique de l’ouest.
Selon le directeur de cabinet du ministre de l’Agriculture et de l’Equipement rural, « 45 milliards sont du programme brésilien, 22 milliards proviennent de celui de la Belgique là où, le programme indien dégage 12 milliards de francs CFA« .
« A côté de ces programmes d’équipements motorisés, nous déroulons également un important programme d’équipement des exploitations familiales d’un montant de 5 milliards par an, destiné aux petits matériels agricoles » a ajouté l’officiel.
D’après lui, « toutes ces initiatives prises par le gouvernement du Sénégal démontrent sa volonté de transformer l’agriculture à travers le développement de la mécanisation« .
L’atelier, axé sur le thème « transformer l’agriculture ouest-africaine par le développement de la mécanisation », invite, selon lui, à des « réflexions sur la vision, la pertinence, les mécanismes et modalités mais aussi, la durabilité des actions en cours dans nos pays« .
« Il est évident que la volonté et les efforts de nos Etats respectifs pour moderniser nos agricultures sont louables et méritent d’être accompagnés pour éviter que ces contraintes à la fois endogènes et exogènes ne viennent annihiler les multiples initiatives en cours » a-t-il souligné.
A ce sujet, Lamine Lô a proposé une série de meures d’accompagnement notamment l’accès au crédit agricole d’investissement, la réduction des coûts élevés des équipements agricoles le renforcement de la formation des techniciens entre autres, doivent être prises par les Etats en vue d’une modernisation de leur agriculture.
Il s’agit aussi, selon M. Lô, « de corriger le faible pouvoir d’achat de la plupart des agriculteurs, de promouvoir l’implantation des fabricants de matériels dans les Etats pour rendre disponible, les pièces de rechanges, d’adapter la mécanisation à nos exploitations agricoles et intensifier l’utilisation de machines agricoles« .
Toutefois, il a indiqué que « le renforcement de l’efficacité des politiques agricoles appelle à la prise en compte de deux facteurs critiques constitués du faible niveau d’utilisation des intrants et d’une mécanisation archaïque« .
« De 2012 à nos jours, plus de 850 tracteurs de 75 à 125 C, ont été acquis et toujours en cours de cession à des prix subventionnés à hauteur de 60%« , a fait observer Lamine Lô qui présidait l’ouverture d’un atelier sur la mécanisation agricole en Afrique de l’ouest.
Selon le directeur de cabinet du ministre de l’Agriculture et de l’Equipement rural, « 45 milliards sont du programme brésilien, 22 milliards proviennent de celui de la Belgique là où, le programme indien dégage 12 milliards de francs CFA« .
« A côté de ces programmes d’équipements motorisés, nous déroulons également un important programme d’équipement des exploitations familiales d’un montant de 5 milliards par an, destiné aux petits matériels agricoles » a ajouté l’officiel.
D’après lui, « toutes ces initiatives prises par le gouvernement du Sénégal démontrent sa volonté de transformer l’agriculture à travers le développement de la mécanisation« .
L’atelier, axé sur le thème « transformer l’agriculture ouest-africaine par le développement de la mécanisation », invite, selon lui, à des « réflexions sur la vision, la pertinence, les mécanismes et modalités mais aussi, la durabilité des actions en cours dans nos pays« .
« Il est évident que la volonté et les efforts de nos Etats respectifs pour moderniser nos agricultures sont louables et méritent d’être accompagnés pour éviter que ces contraintes à la fois endogènes et exogènes ne viennent annihiler les multiples initiatives en cours » a-t-il souligné.
A ce sujet, Lamine Lô a proposé une série de meures d’accompagnement notamment l’accès au crédit agricole d’investissement, la réduction des coûts élevés des équipements agricoles le renforcement de la formation des techniciens entre autres, doivent être prises par les Etats en vue d’une modernisation de leur agriculture.
Il s’agit aussi, selon M. Lô, « de corriger le faible pouvoir d’achat de la plupart des agriculteurs, de promouvoir l’implantation des fabricants de matériels dans les Etats pour rendre disponible, les pièces de rechanges, d’adapter la mécanisation à nos exploitations agricoles et intensifier l’utilisation de machines agricoles« .
Toutefois, il a indiqué que « le renforcement de l’efficacité des politiques agricoles appelle à la prise en compte de deux facteurs critiques constitués du faible niveau d’utilisation des intrants et d’une mécanisation archaïque« .