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Dans une récente sortie dans la presse, le coordonateur de la communication de Benno, Moussa Tine, a levé un coin du voile sur la question de la candidature unique au sein de cette coalition de certains partis de l’opposition : « Nous devons choisir un candidat entre Niasse et Tanor. » Mais vu le programme ficelé par Benno dans les trois premières années de gouvernance, on pourrait bien penser que le profil de Moustapha Niasse cadre mieux. Le président de « transition » s’occupera essentiellement de l’adoption de la nouvelle Constitution et de nouveaux textes réglementaires et législatifs, l’organisation des Législatives, la mise en place de nouvelles institutions et la nomination des autorités devant occuper des fonctions étatiques. « Cela fait à peu près deux ans et huit mois », note Moussa Tine.
Moustapha Niasse est aujourd’hui âgé de 72 ans. Son âge avancé n’est pas un handicap mais plutôt un atout pour pouvoir bénéficier de la candidature unique de Benno. En 2012, il aura 73 ans et doublé de trois ans de président de transition, si Benno gagne la présidentielle, Niasse bouclera ses 76 ans. Et il est impensable que le leader de l’Alliance des Forces du Progrès se présente encore en 2015 pour solliciter un mandat de 5 ans qu’il va terminer en 2020 à l’âge de 81 ans. L’âge actuel de Niasse joue en sa faveur.
L’autre élément déterminant c’est l’expérience gouvernementale de Moustapha Niasse. Ancien directeur du cabinet du président Léopold Sédar Senghor (1970-1979), deux fois Premier ministre du Sénégal (1983 et 2000), deux fois ministre des Affaires étrangères (1979-1983 et 1993-1998) et ministre de l’Urbanisme, de l’Habitat et de l’Environnement (1979). Cette connaissance de l’Etat pèse lourde sur la balance de la candidature unique au sein de Benno.
Eu égard à toutes ces considérations, des voix, de plus en plus nombreuses et autorisées, votent pour Niasse au sein de Benno. Au Parti socialiste, des jeunes comme Barthélémy Dias n’envisagent pas une « candidature de Benno en dehors de leur formation politique (le Ps)». Une déclaration considérée par certains membres de Benno comme du sable jeté dans le couscous. D’où la constitution de cinq sages, dont Abdoulaye Bathily (Ld), Mbaye Diouf (Fdp), Momar Samb (Rta-S), arrondir les angles et aplanir les divergences entre les « vieux rivaux » et « frères ennemis » socialistes et progressistes. Mais on nous signale que « le choix est presque fait. » Les cinq sages désignés, c’est juste pour arrondir les angles et aplanir les divergences entre les « vieux rivaux » et « frères ennemis » socialistes et progressistes. Moustapha Niasse, candidat de Benno, sera annoncé en octobre, à moins de quatre mois de la cruciale présidentielle de 2012.
Moustapha Niasse est aujourd’hui âgé de 72 ans. Son âge avancé n’est pas un handicap mais plutôt un atout pour pouvoir bénéficier de la candidature unique de Benno. En 2012, il aura 73 ans et doublé de trois ans de président de transition, si Benno gagne la présidentielle, Niasse bouclera ses 76 ans. Et il est impensable que le leader de l’Alliance des Forces du Progrès se présente encore en 2015 pour solliciter un mandat de 5 ans qu’il va terminer en 2020 à l’âge de 81 ans. L’âge actuel de Niasse joue en sa faveur.
L’autre élément déterminant c’est l’expérience gouvernementale de Moustapha Niasse. Ancien directeur du cabinet du président Léopold Sédar Senghor (1970-1979), deux fois Premier ministre du Sénégal (1983 et 2000), deux fois ministre des Affaires étrangères (1979-1983 et 1993-1998) et ministre de l’Urbanisme, de l’Habitat et de l’Environnement (1979). Cette connaissance de l’Etat pèse lourde sur la balance de la candidature unique au sein de Benno.
Eu égard à toutes ces considérations, des voix, de plus en plus nombreuses et autorisées, votent pour Niasse au sein de Benno. Au Parti socialiste, des jeunes comme Barthélémy Dias n’envisagent pas une « candidature de Benno en dehors de leur formation politique (le Ps)». Une déclaration considérée par certains membres de Benno comme du sable jeté dans le couscous. D’où la constitution de cinq sages, dont Abdoulaye Bathily (Ld), Mbaye Diouf (Fdp), Momar Samb (Rta-S), arrondir les angles et aplanir les divergences entre les « vieux rivaux » et « frères ennemis » socialistes et progressistes. Mais on nous signale que « le choix est presque fait. » Les cinq sages désignés, c’est juste pour arrondir les angles et aplanir les divergences entre les « vieux rivaux » et « frères ennemis » socialistes et progressistes. Moustapha Niasse, candidat de Benno, sera annoncé en octobre, à moins de quatre mois de la cruciale présidentielle de 2012.