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Pas moins de 120 mariages ont été bénis samedi dernier par le Khalif général des Layènes. Venus de tous les horizons, des hommes et femmes qui s’aiment et qui ont été donnés en mariage depuis leurs naissance à la faveur du traditionnel “Mayu Ndës” ont été officiellement unis devant Dieu et devant les hommes dans la grande mosquée layène de Yoff.
Les conditions à remplir étaient simples, il fallait le consentement des deux parties et s’acquitter d’un montant de 10 000 FCFA, la dot (3000 FCFA) y compris.
Une aubaine pour les moins nantis qui peuvent ainsi se marier sans pour autant être ruinés. Les parents des mariés ont salué cette trouvaille du fondateur de la confrérie des Layènes.
Revenant sur le sens de cette cérémonie, le fils de l’actuel Khalif des layènes, d’affirmer que Seydina Limamoulaye avait instauré le “Mayu Ndës” pour apporter une réponse à la crise sociale. Toutefois, indique-t-il dans le journal Enquete, si une fois majeure, une des deux parties n’est pas consentante, le mariage est annulé et la dot remboursée.